Elle prend une fessée au tribunal RECIT érotique

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il y a 11 ans

La salle des fessées du tribunal est maintenant entrée dans les mœurs, elle est même devenue un sujet de raillerie sur la route, dans les brasseries voir même dans les familles qui fut un temps militaient contre la fessée.....

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Le nouveau gouvernement de la république BDSM lancé par Maud du réseau Fessestivites est à la fois très sévère et très social. Très sévère dans le sens où le laxisme des fonctionnaires de police est très mal vue, social dans le sens où il propose un réellement accompagnement des demandeurs d'emploi ou des alternatives physiques aux personnes condamnées ne pouvant payer les amandes. Les amendements votés permettent enfin aux juges de faire appliquer les lois. Les défenseurs des droits de l'homme sont eux aussi revenus sur leurs positions extrêmes. Un voleur n'est plus relâché 24 heures après avoir été interpelé.

Lucie sait qu'il est interdit de téléphoner en conduisant mais c'est une grande bavarde. Lundi, coincée dans les éternels bouchons, elle raconte son week-end en détail à sa copine au volant de sa voiture. Lorsque la circulation devient plus fluide, elle n'interrompt pas sa discussion téléphonique car il lui reste tant de choses à dire..... Un policier en moto banalisée la suivant depuis quelques minutes lance sa sirène, Lucie jette son téléphone dans la voiture mais il est trop tard. La caméra GoPro fixée au casque du policier a tout enregistré.

  • Gendarmerie nationale, vos papiers s'il vos plait. Dit le policier sur une aire de repos.

  • Voilà Monsieur l'agent ! Lui dépond Lucie penaude.

  • Vous téléphonez en conduisant, le code de la route -Art R 412-6-1stipule que l'usage d'un téléphone tenu en main par le conducteur d'un véhicule en circulation est interdit. Vous êtes en infraction, je vais devoir vous verbaliser.

  • Mais je ne téléphonais pas Monsieur l'agent, je me grattais l'oreille, il y a méprise. Répond Lucie rebelle et refusant souvent de reconnaître ses fautes.

  • Madame vous vous moquez de moi, c'est inadmissible j'ai bien envie d'ajouter outrage à agent. Rétorque le policier agacé.

  • Faites ce que vous voulez, vous avez tous les droits pour draguer les filles.....

  • La caméra GoPro fixée à mon casque a tout filmé et enregistre vos réponses foireuses, le tribunal appréciera. Répond le policier quelque peu énervé par cette blonde irrespectueuse cherchant à salir le dur métier de policier.

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Quinze jours plus tard, Lucie est convoquée dans une des tribunaux de proximité dont les attributions ont été largement étendues. Son avocat plaide non coupable car Lucie ne lui a pas tout dit, ce qui est une grave erreur. Lorsque le film de son infraction est diffusé sur grand écran aux yeux de tous, Lucie comprend qu'elle est perdue, son avocat est furieux et va de surprises en surprises.

  • Il y a pire, Monsieur le président ! Ajoute le procureur, cette automobiliste dès plus irrespectueuses a essayé de discréditer l'agent qui l'a interpelée et cherché à le faire passer pour un homme usant de ses fonctions à des fins sexuelles. C'est inadmissible. Je subodore que vous apprécierez la diffusion sonore de l'interpellation et retiendrez les sanctions maximums pour ce type de comportement.

La diffusion audio visuelle est effectivement éloquente. Le public éclate de rire, l'avocat met la main devant sa bouche pour cacher un rire qu'il n'arrive pas à contenir. Sa plaidoirie ne tient plus, le juge est furieux. Appelée à la barre Lucie s'embourbe dans ses réponses, ce qui n'arrange pas son cas.

  • Madame Delacours, vous êtes condamnée à 10 000 euros d'amende pour manque de respect à la police. Cette amende se cumule à la perte de trois points sur votre permis de conduire puis à la contravention de deuxième classe soit 1200 euros d'amende. Hormis pour les points que vous venez de perdre, si vous ne pouvez régler la totalité de la somme due, vous avez la possibilité de réduire le montant de votre contravention de 50 % puis d'obtenir un étalement de paiement en passant immédiatement par la salle des punitions du tribunal. Quelle est votre décision ? Acceptez-vous de passer par la salle des punitions pour réduire votre peine ?

  • J'accepte de passer par la salle des punitions répond Lucie les yeux pleins de larmes avec des sanglots dans la voix pour économiser les 5600 euros qu'elle n'a pas.

Conduite par la police vers la salle que certains appellent la salle de l'enfer, rouge comme une écrevisse elle passe devant le public amusé qui aimerait bien assister à cette sanction tant les courbes de la condamnée sont ravissantes. Le bourreau et son assistante prennent le petit papier tendu par les gardiens et demandent à Lucie de retirer sa culotte. Rapidement couchée sur le banc à fessée du tribunal, sa jupe est prestement relevée exposant ses délicieuses fesses au regard de l'assistante lui liant les chevilles pendant que le bourreau lui lit les poignets.

Lucie n'arrive pas à concevoir ce qu'il lui arrive, elle ne peut pas admettre ce qui va se passer, elle commence à crier, supplier mais il est trop tard.

  • Je te conseille de ne pas crier trop tôt ! Tu as bien le temps ! Lui dit le bourreau pour parachever son supplice.

Les fesses ainsi offertes, Lucie se sent humiliée et perdue à jamais, elle a froid mais en même temps transpire, la peur la submerge. Cette peur, le bourreau s'en délecte à chaque fois, il laisse toujours s'écouler un peu de temps avant d'appliquer la sentence. La lourde strap en cuir épais déjà bien tanné par le temps s'abat soudain sur ses fesses. Le coup donné fortement enflamme aussitôt son fessier. Rouge de honte, les joues cramoisies par la claque magistrale qu'elle vient de prendre sur ses fesses, Lucie serre les dents pour ne pas crier et offrir ce plaisir au bourreau. Grave erreur, car il sait faire très mal pour aller chercher les suppliques. Au contraire, il aime qu'on lui résiste, surtout quand le condamné est aussi charmant que cette blonde rebelle.

Les coups se mettent à pleuvoir régulièrement, la faisant rapidement hurler de douleur et de peur. Elle se contorsionne inutilement pour échapper à ses entraves offrant au regard gourmant du bourreau un spectacle délicieux. Lucie a l'impression de devenir folle, que son cul est en sang tant les morsures de la strap sont cruelles. Elle croit défaillir quand il passe la main sur son fessier, qu'il ose la tripoter n'est pas conservable. Il ne la tripote pas, il fait un simple « état des lieux » afin de contrôler l'épiderme. Si sous la peau il ne se forme pas des caillots de sang, il peut sans aucun souci donner les trente coups qu'il lui reste à donner. Dans le cas contraire, il devrait se modérer afin de ne pas éclater les chairs comme pour les punitions de catégorie cinq.

Les trente derniers coups sont très sévères et donnés avec une grande régularité exposant le savoir faire du bourreau. Les membres de Lucie broyée de douleur tremblent tout le long de la sentence, ses cris s'étouffent dans un hoquet, des larmes inondent son visage. Lors des dix derniers elle se met à haleter comme une personne mourante cherchant l'air.

Lucie est tellement suroxygénée et brisée moralement qu'elle ne réagit pas immédiatement quand ils la libèrent des solides entraves ayant profondément marqué ses poignets. La peau de ses fesses est écarlate mais sans aucune blessure apparente contrairement à celle qu'elle gardera à vie dans sa mémoire.

TSM

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